Et ce soir ? pas d’encouragement ?
Merci pour la richesse de vos explications de texte, pour les précisions et les commentaires ; votre site est beau, vos articles clairs ; j’ai apprécié !
Bonjour (…Monsieur ?)
Je suis élève en terminale littéraire, et je commence sérieusement à douter de mes chances d’obtenir le bac avec une épreuve de philo coefficient 7…
Et pourtant ‘j’aime la philo’ !
Sincèrement, c’est une matière qui m’intéresse mais elle n’en demeure pas moins obscure à mes yeux.
Aussi venais-je vous demander des conseils, pour m’orienter vers une méthode de révision rigoureuse et concrète à mettre en application pour ces 3 prochains mois qui me séparent du bac :
Autrement dit, bien que les esprits libres des philosophes répugnent à enseigner une seule pensée, comme s’il n’y avait qu’un unique chemin de réflexion à suivre, puis-je, ou plutôt dois-je apprendre mon cours par cœur ?
Cela vous parait-il pertinent comme outil de réussite, -honnêtement-, je veux dire en prenant compte des réalités, des attentes des correcteurs du bac ?
Non pas que j’aime suivre les raisonnements qu’on me dicte, voire que l’on m’impose, mais cette épreuve au bac n’est-elle pas aussi et surtout un exercice de ‘bachotage’, recracher son cours (en dehors de ses convictions personnelles) garantissant généralement une dissertation qui tient debout. ?
Je me suis un peu étalée là mais j’espère que vous comprendrez malgré tout l’impasse dans laquelle je me trouve 🙂
j’ai vraiment envie de bien faire, quitte à travailler !* mais je n’y arrive pas.
*[je croyais jusqu’ici que ceux qui réussissent appartenaient à une sorte d’élite, le club très select des chanceux-de-la-vie… j’ai appris récemment qu’il étaient en fait le jouet d’une mystification, le secret de leur réussite ne serait donc que le travail ! Dès lors, j’ai aussi mes chances… d’où ma requête : mais comment travaille-t-on ?! en philosophie du moins]
Merci ?
N.B. bien évidemment j’ai bien tout lu tous vos articles avant (ou presque)…
Et ce soir ? pas d’encouragement ?
Merci pour la richesse de vos explications de texte, pour les précisions et les commentaires ; votre site est beau, vos articles clairs ; j’ai apprécié !
Bonjour (…Monsieur ?)
Je suis élève en terminale littéraire, et je commence sérieusement à douter de mes chances d’obtenir le bac avec une épreuve de philo coefficient 7…
Et pourtant ‘j’aime la philo’ !
Sincèrement, c’est une matière qui m’intéresse mais elle n’en demeure pas moins obscure à mes yeux.
Aussi venais-je vous demander des conseils, pour m’orienter vers une méthode de révision rigoureuse et concrète à mettre en application pour ces 3 prochains mois qui me séparent du bac :
Autrement dit, bien que les esprits libres des philosophes répugnent à enseigner une seule pensée, comme s’il n’y avait qu’un unique chemin de réflexion à suivre, puis-je, ou plutôt dois-je apprendre mon cours par cœur ?
Cela vous parait-il pertinent comme outil de réussite, -honnêtement-, je veux dire en prenant compte des réalités, des attentes des correcteurs du bac ?
Non pas que j’aime suivre les raisonnements qu’on me dicte, voire que l’on m’impose, mais cette épreuve au bac n’est-elle pas aussi et surtout un exercice de ‘bachotage’, recracher son cours (en dehors de ses convictions personnelles) garantissant généralement une dissertation qui tient debout. ?
Je me suis un peu étalée là mais j’espère que vous comprendrez malgré tout l’impasse dans laquelle je me trouve 🙂
j’ai vraiment envie de bien faire, quitte à travailler !* mais je n’y arrive pas.
*[je croyais jusqu’ici que ceux qui réussissent appartenaient à une sorte d’élite, le club très select des chanceux-de-la-vie… j’ai appris récemment qu’il étaient en fait le jouet d’une mystification, le secret de leur réussite ne serait donc que le travail ! Dès lors, j’ai aussi mes chances… d’où ma requête : mais comment travaille-t-on ?! en philosophie du moins]
Merci ?
N.B. bien évidemment j’ai bien tout lu tous vos articles avant (ou presque)…
Merci encore, ne serait-ce que pour ce site
Mariette
(awé… j’ai VRAIMENT écrit un roman…! )