Evoquant le non-lieu dans lequel le mythe dé-place le sens humain, nous avions évoqué en cours la béance qui demeurait en l’homme une fois les dieux congédiés. Le paradoxe du passage au monothéisme, c’est que dieu semble n’avoir jamais été …
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Evoquant le non-lieu dans lequel le mythe dé-place le sens humain, nous avions évoqué en cours la béance qui demeurait en l’homme une fois les dieux congédiés. Le paradoxe du passage au monothéisme, c’est que dieu semble n’avoir jamais été …
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