On s’étonnait, en salle des professeurs, qu’on consacre au JT de 20h vingt minutes à la disparition de Michel Delpech, et que la mort de Pierre Boulez ne soit mentionnée qu’en quelques secondes à peine. On peut faire mine d’être étonné, mais ça tombe en fait sous le sens : si Boulez a l’importance qu’on lui prête, c’est que, sans doute, nous ne savons pas encore en parler correctement, que sa musique dépasse et de loin ce que le discours, …
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